SETE 7 SETE 7 SETE 7 SETE 7 SETE

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DELSANTO HISTOIRE DE CHIFFRE Jeu 26 Aoû - 20:59


Notre gentille et jolie maitresse des colles nous ayant livré à nous-mêmes et notre amie Larissah ne jugeant pas utile de reprendre le flambeau culturel, il fallait bien que le canadien de service, c'est à dire ma pomme, éclaire un peu vos lanternes en vacances...

J'ai donc décidé d'aborder une question qui est sur les lèvres de chacun d'entre vous ; à savoir: Quelle est l' origine de la barre du chiffre sept !
Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes,
en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui.

Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu'à nos jours ???

Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques : Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième commandement, il annonça :
« Tu ne commettras point d'adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain »
Et là... de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant :
"Barre le sept, barre le sept, barre le sept !!!" Et voilà… l'origine de la barre du sept !

Ouais, je sais: ça ne vole pas aussi haut qu'avec Pauline; mais il faut bien reconnaitre qu'elle n'en avait pas parlé de cette histoire!...

Cher Monsieur DELSANTO, merci de m'interpeller sur le 7.

Ah ! les temps bibliques.... la vie était rude, quand j'incarnais dans cette vie antérieure
Rebecca

Le nombre sept est caractéristique du culte d'Apollon : les cérémonies apolliniennes se célébraient au septième jour du mois.

En Chine également, les fêtes populaires avaient lieu un septième jour. Il apparaît dans d'innombrables traditions et légendes grecques : les 7 Hespérides, les 7 portes de Thèbes, les 7 fils et 7 filles de Niobé ; les 7 cordes de la lyre, les 7 sphères..... Comme il y a 7 emblèmes du Bouddha.

Le Yoga connaît aussi 7 sens subtils (les six chakra, plus le sahasrâra-padma).

Selon Abû Ya'qûb, les "Formes spirituelles" ont été manifestées par les "sept lettres suprêmes", qui sont les "sept intelligences", les "sept chérubins".

Sept -7, nombre des Cieux, est aussi selon Dante Allighiéri, celui des sphères planétaires, auxquelles les Cathares faisaient correspondre les 7 arts libéraux.

En Islam 7 est également un nombre faste, symbole de perfection : 7 cieux, 7 terres, 7 mers, 7 divisions de l'enfer, 7 portes. Les sept versets de la Fatiha (sourate ouvrant le Coran).

Les musulmans font 7 circumambulations autour la Kaâba, et c'est la fameuse pierre noire enchâssée dans l'un des angles du mur extérieur de la Kaâba qui marque l'endroit d'où commence ces tours.


L' ART étant indispensable à la vie, ci-dessous les 7 tableaux que Michael Jackson a acheté avant de mourir.

http://www.lepost.fr/article/2009/12/04/1824908_histoire-des-7-tableaux-eh-oui-encore-le-chiffre-7.html




Sept correspond aussi aux
7 jours de la semaine,
7 planètes,
7 degrés de la perfection,
7 têtes du naja d'Angkor
Le cinéma est le 7e art
et les 7 nains
La mode des Seventies
les bottes de 7 lieues de Perrault
Les 7 jours de la Création
Il y a tous les 7 ans un renouvellement de notre sang, entraînant des changements dans notre caractère
7 péchés capitaux .....

7 travaux de Sarko-Herculum



Sans oublier le 7ème ciel de 5 à SETE




Puisque nous sommes dans le 7, je vais vous conter une légende du Languedoc Roussillon

Une légende de poulpe géant court autour de la Méditerranée depuis 4 siècles et met en scène les exploits d’un jeune marin pécheur du port de Sète. Un poulpe se serait attaqué régulièrement aux bateaux de pêche naviguant entre Sardaigne et Baléares à partir de 1605 et jusqu’à 1683. Engloutissant de nombreux marins et navires Italiens, Français et Catalans au fond du golfe du Lion.

Un texte retrouvé à l’Université de Cagliari narre un fait qui aurait mis fin à cette légende dont le protagoniste principal fut un jeune marin Sétois d’origine italienne du nom de Giovanni. Ce texte raconte comment celui-ci aurait réussi à convaincre le poufre géant de renoncer à ses forfaitures et ses abominables crimes marins.

Pendant plus de 35 ans de 1684 jusqu’à 1720 les Sétois fêtèrent dignement leur héros au cours de festivités à l’occasion du solstice d’été "les grandes fêtes du Poufre Soleil" allusion évidente au règne de Louis XIV de 1643 à 1715 et de ses fêtes au Palais de Versailles.


A chaque solstice d’été un poulpe géant vivant au tréfonds de la mer Méditerranée réapparaissait pour avaler un bateau de pêche et ses occupants.

Autour du 20 juin et seulement par calme plat et grand soleil , la bête remontait lentement des sombres abimes vers la surface d’huile.

Quand la sonde des chaluts révélait aux pécheurs la présence de hauts fonds anormaux, les marins comprenaient que le monstre était dans les parages et tentaient de prendre la fuite en toute hâte.

Mais les 8 tentacules de l’animal de 15 mètres chacune longues comme les mâts des bateaux semaient la terreur sur les mers, retournant les embarcations comme des fétus de paille.




Des centaines de marins auraient péris dans ce triangle des Bermudes méditerranéen au cours des 78 années de présence de cette bête de l’enfer.

L’histoire raconte qu’un bateau de pêche Sétois "LE POUFRE" se retrouva un jour face au poulpe géant. Nous étions en l’an de grâce 1676.

Connaissant les récits populaires circulant à son sujet et sachant que le poulpe est l’animal non mammifère le plus intelligent du monde aquatique, un jeune matelot dénommé Giovanni se hissa sur la proue et s’adressa à l’animal.

- Que cherches-tu poufre géant ? Pourquoi es-tu si malheureux pour détruire nos bateaux de la sorte ?

- Je cherche le soleil lui répondit le gigantesque mollusque car au fond de la mer il fait très sombre.

- Si tu cherches le soleil je te l’offre affirma le jeune homme.

Et celui-ci tendit le bras très haut au delà du mât et cassa un rayon de soleil dans sa main, il le tendit au poufre lui faisant jurer d’obtenir ses grâces et la vie sauve. Celui s’empara du rayon lumineux et disparut dans les profondeurs abyssales sous-marine.

Longtemps la nuit les marins de passage pouvait observer une étrange lueur au fond de l’eau alimentant la rumeur de la présence de l’ Atlantide dans cette zone maritime..

Mais l’année suivante au solstice d’été le poulpe réapparut devant le chalut sétois et demanda à parler à son ami.

- Il fait trop sombre au fond , je veux plus de soleil, donne m'en encore.

Giovanni faisant promettre au colosse des mers de ne plus y revenir décrocha un second rayon au soleil qu’il remis entre les tentacules de l’énorme céphalopode .

Et c’est ainsi que 7 années durant le jour le plus long de l’année le poulpe exigeait son rayon de soleil supplémentaire.

Le matelot lui cassait son rayon et le jetait au poufre, la paix était revenu sur les eaux limpides de Méditerranée.

La huitième année en 1683 le poufre revint exigé son huitième rayon de soleil.

Le matelot lui répondit alors :
- Si je te donne le huitième et dernier le soleil n’aura plus de rayon, la lumière cessera d’éclairer la terre et il fera encore plus sombre au fond de la mer.
- Je veux ce huitième rayon scanda-t-il.
- Si tu ne me le donne pas, j’avale ce bateau et toi avec. J’ai 8 tentacules et je veux les 8 rayons du soleil.

Alors Giovanni décrocha le dernier rayon lumineux , la nuit tomba immédiatement sur terre comme une éclipse noire d’encre. Le marin saisit le rayon de soleil comme une lance et ordonna de faire retentir les fifres et les hautbois et de foncer sur la bête.

Giovanni enfonça la lance improvisée dans l’énorme œil droit de l’animal lui crevant comme une baudruche.

Ainsi était né le premier combat de joute déjà à l’avantage d’un Sétois.

Le jeune homme raccrocha le rayon au soleil , la lumière revint immédiatement. L’animal borgne ignorant la douleur trouva avec son œil restant que finalement la lumière était suffisante et remercia le pécheur.

Chaque année depuis lors le poufre-soleil vient rodé dans les parages de Sète et il ne touchera plus jamais un pécheur Sétois .


C’est pourquoi la ville de Sète tient son nom des 7 rayons du soleil que possède le POUFRE géant.




Il me plaît à penser qu'une version moderne de cette légende a été créée par l'artiste CARRIER ROCA Albert.

Il a illustré cette légende en sculptant un poufre séduit par une jeune sirène sortie du fond des eaux profondes pour sauver la Terre.

- Poufre, oh, Poufre, regarde-moi ! dit la belle en balançant les bras, en agitant les mains, en frissonnant de tout son être, pour attirer l'attention du monstre.

Poufre, l'homme-pieuvre blêmit devant cette apparition et n'hésita plus, il choisira cette ondine, ébloui par ces boucles tombant sur ses blanches épaules comme un voile caressant.

Car il est tombé fou d'amoureux de cette grâce méditerranéenne et jure pour plaire à la sylphide de ne plus troubler les eaux limpides de Méditerranée. Et comme le poulpe inhumain d'Apollinaire, il jettera son encre vers les cieux et il suçera le sang de cette innocente en le trouvant délicieux. Le poufre géant se contentera des 7 rayons du soleil donné par Giovanni, car son 8è rayon de sera la belle Sétoise.

La sirène de chair et d'eau se blottira dans les bras tentaculaires du poufre et tous deux seront emportés par la grande marée. C'est ainsi que cette étoile illuminera les fonds marins, et que sauvée par l'almée, la Terre ne sombra pas dans les ténèbres.








"Les étoiles sont lointaines mais leur lumière est chaude, elles effacent les ténèbres de la nuit et du coeur des hommes."
Driss Chraïbi


La 7ème symphonie de Beethoven



Et je ne vous ai pas parlé de la danse des sept voiles

Pour faire suite au sujet ci-dessus, je vous avais promis la danse des sept voiles qui orientalise l'opéra de Strauss.

Salomé est un opéra en un acte de Richard Strauss sur un livret de Hedwig Lachmann tiré de la Salomé d'Oscar Wilde et créé le 9 décembre 1905 au Hofoper de Dresde. Salomé est un des opéras les plus connus dans l'histoire du théâtre mais c'est sûrement le plus sensuel.

L'action se situe au début de l'ère chrétienne. Le roi Hérode est tombé amoureux d'une femme appelée Hérodiade, que le prophète Jean-Baptiste avait de nombreuses fois traitée de prostituée. Le roi Hérode avait emprisonné dans une citerne le prophète Jean-Baptiste.

D'un précédent mariage, Hérodiade avait eu une fille, appelée Salomé. Une nuit, Salomé entend le prophète Jean-Baptiste parler du fond de la citerne. Curieuse, elle veut le connaître et parvient à convaincre les gardes de faire sortir le prophète Jean-Baptiste afin de le voir.

Lorsqu'elle le voit, Salomé se prend de passion pour le prophète, elle lui fait des avances, mais il refuse ses propositions et il est reconduit dans la citerne.

Plus tard, Hérode demande à Salomé de danser pour lui, en promettant tout ce qu'elle demandera. Salomé accepte de danser la "danse des sept voiles" en s'enlevant les voiles un à un.





A la demande de sa mère Hérodiade, Salomé exige la tête du prophète Jean-Baptiste. Hérode d'abord refuse et ensuite cherche à ne pas satisfaire la demande, mais il doit tenir la promesse. Le bourreau descend dans la citerne et ressort avec la tête du prophète qui est apportée à Salomé sur un plateau d'argent.

Salomé parle à la tête du prophète et lorsqu'elle embrasse la tête coupée et saignante de Jean-Baptiste, la perversion est à son comble…. Le roi Hérode, horrifié de cet acte, donne l'ordre de tuer Salomé.

Je ne résiste pas à vous montrer la danse des sept voiles, dans un extrait de film américain, avec la belle Rita Hayworth

La musique de Strauss exprime la violence des sens et la douceur souhaitée des corps qui s'appellent. Strauss visite les résonances orientales dans la lenteur de la danse et dans cet alanguissement romantique du rythme harmonique.

La partie orchestrale la plus connue de l'oeuvre, c'est bien sûr la "Danse des sept voiles" souvent représentée toute seule, avec des chorégraphies originales, seulement pour orchestre et ballet, interprétée par une danseuse, et dans ces versions la danseuse qui interprète Salomé, souvent, finit la danse après avoir fait tomber le dernier voile. Et sa nudité séductrice apparrait d'une chaste beauté.

Les artistes de l'Antiquité voyaient le corps humain nu comme le parfait reflet de l'ordre divin, alors qu'au Moyen Âge, l'érotisme émanant d'un corps nu était considéré comme un péché.

Salomé n'est pas nommée dans les Évangiles , où elle est désignée simplement comme " la fille d'Hérodiade "

C'est Flavius Josèphe, historien romain du Ier siècle, qui parle de " Salomé ", fille d'Hérodiade et d'Hérode Philippe Ier.

Salomé a dix ans quand sa mère quitte son mari, Hérode Philippe Ier, pour se marier avec le frère de celui-ci, Hérode Antipas, qui est tétrarque de Galilée.
D'après les Évangiles, Jean-Baptiste dénonce le remariage d'Hérodiade avec Hérode Antipas comme contraire à la loi :
" Il ne t'est pas permis d'avoir la femme de ton frère." (Evangile de Marc, VI,18)
Et c'est pour cette raison que Jean-Baptiste est emprisonné.



Saloméa inspiré tant d’artistes en peinture, musique, opéra, chanson, cinéma et autres productions culturelles qu’on ne saurait les mentionner tous.


Je souhaite toutefois vous présenter à nouveau la " danse des 7 voiles " mais dans la version espagnole de Carlos Saura.
Vous ne serez pas sans noter le charme sensuel de sa Salomé : Aida Gómez






Selon un texte apocryphe, la Lettre d'Hérode à Pilate, Salomé mourut en passant sur un lac glacé : la glace se brisa et elle tomba jusqu'au cou dans l'eau. La glace se reforma autour de son cou, laissant apparaître sa tête comme posée sur un plateau d'argent...


.Bernardino Luini (1480 env-1532)
Salomé avec la tête Jean Baptiste



Dane

Madame Dane, vous m'êtes très sympa, je vous remercie d'apporter votre touche à tous mes commentaires, suivant votre style et votre ton, j'en déduis que vous devez être instit, alors n'hésitez pas donnez-moi une note à chacun de mes commentaires.

Je suis d'ailleurs pour la notation, je sais déjà que pour le devoir sur le gavage, vous me donnerez 5/20

Comment me trouvez-vous dans l'ensemble


Votre élève


PAUINE



Combien donnez-vous à BB qui s'est occupée des animaux, et c'est très bien, mais qui ne s'est JAMAIS préoccupé de son fils unique

Citation :

Madame Dane, vous m'êtes très sympa, je vous remercie d'apporter votre touche à tous mes commentaires, suivant votre style et votre ton...

Oh ! là, là !
Je sens souffler un vent d’ironie

Et vous me faites trop d’honneur...Je ne me permets pas de vous noter...!
J’en suis bien incapable !

Mon commentaire n’est qu’un complément, une autre approche
et nullement une critique…
Alors, ne perdez pas votre fair-play…Ne laissez pas croire que
j’ai le don de vous énerver, cela me désolerait !





" Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ses écrits, il faut y mettre du sel..."
Montesquieu


Dane

Honi soit qui mal y pense.

L’utilisation contemporaine de cette expression se fait souvent sur le mode plaisant ou ironique, pour prévenir les critiques de ceux qui suspecteraient l’honnêteté de propos tenus sans arrière-pensée.

- Honte à celui ou à celle qui y voit du mal.

Ou encore :

- Honte à celui ou à celle qui interprète comme répréhensible une parole ou un acte à l'intention innocente mais aux conséquences ambiguës.

Mais la question fondamentale ne serait-elle pas la suivante :

Pour qui la HONTE et pour qui l’INNOCENCE

- Honte sur moi-même d’avoir interprété la demande de notation, sincère et innocente, de Madame SantoniA comme un agacement lié à mes commentaires ?

- Honte sur Madame SantoniA d’avoir interprété mes commentaires sincères et innocents comme une critique d’un travail mal rédigé ?


"Une bonne conscience est un doux oreiller." Proverbe français

Citation :

Honi soit qui mal y pense.

Telles sont les paroles prononcées par Edouard III, roi d’Angleterre, après avoir rendu sa jarretière à la Comtesse de Salisbury lors d'un bal donné en son honneur, durant la guerre de cent ans.


Le Dictionnaire des citations et des mots historiques de François Bluche précise :

"C'est la devise de l'ordre anglais de la Jarretière (conservée par les héraldistes anglais avec l'orthographe du XIVe siècle Honi).

Selon une tradition qui touche à la légende, l'évènement eu lieu, en 1346.
Le roi Edouard III (1312-1377) dansait avec sa maîtresse lorsqu'une des jarretières de sa partenaire glissa et tomba au vu de tous. Rires et quolibets fusaient de toutes parts.
Le roi ramassa le ruban de velours bleu, le brandit et prononça :
"Honi soit qui mal y pense. Tel qui s'en rit aujourd'hui s'honorera de la porter."


Pour ne pas se dédire, Édouard III , roi d’Angleterre, (dont la mère, Isabelle de France était la fille du roi de France Philippe IV dit le Bel) créera le très noble Ordre de la Jarretière (Most Noble Order of the Garter) dont la devise "Honi soit qui mal y pense" figurera en lettres d’or sur une jarretière bleue entourant une croix de couleur rouge.


Il transformait ainsi un incident malheureux en un grade honorifique pour les heureux bénéficiaires de l’ordre de chevalerie le plus élevé de Grande-Bretagne.
Le souverain du Royaume-Uni est le premier des 26 membres de l’Ordre.

En France, ce n’est qu’au XVIe siècle que la forme graphique honi (avec un seul n) fut remplacée par honni (avec 2 n) mais elle a gardé sa forme originelle sur la plaque d’argent de l’insigne britannique.


Dane


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