| | GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... | |
| | Auteur | Message |
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SantoniA
Nombre de messages : 842 Date d'inscription : 28/11/2009
| Sujet: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Lun 9 Aoû - 5:52 | |
| FRECHE S'OFFRE MAO ET LENINE A MONTPELLIER.......... "Dans la deuxième série, j'ai choisi Mao pour la période de la Longue Marche de 1929 à 1949. Après, une fois au pouvoir il était nul. C'est un peu pareil pour Lénine que j'ai élu pour la période 1917-1922"
"Et ce que je célèbre chez Mao, c’est l’homme de la Longue Marche, qui a rendu sa dignité à la Chine. Au pouvoir, c’est une catastrophe. Mais l’histoire oubliera le Mao désastreux du gouvernement."Les crimes pérpétués dans les régimes se réclamant du communisme ont fait l'objet de nombreuses études d'historiens. Pour ne citer qu'un ouvrage, le "Livre noir du communisme" synthétise ces analyses en reprenant également les crimes perpétués en Asie. Au fait mais il a oublié POL POT.......... M. Frêche doit le considérer comme un "enfant de coeur" en comparaison des autres grands génocideurs https://www.youtube.com/watch?v=uo3sBE7gfzc * 1957 Durant la campagne des Cent-Fleurs, Mao encourage les intellectuels à critiquer le parti. Mais le mouvement prend une ampleur qu'il n'avait pas envisagée et entraîne une sanglante répression. * 1958 Son Grand Bond en avant est une catastrophe: récoltes qui pourrissent, biens industriels de piètre qualité, et finalement, famine la plus meurtrière que la terre ait jamais portée. * 1966 La Révolution culturelle incite les jeunes à prendre le pouvoir, à se révolter contre les "ennemis du peuple". Les sinistres Gardes rouges sont créés à cette occasion. Mais là encore, la polémique échappe au contrôle de Mao et se soldera une fois de plus par un massacre sanglant. Le goulag chinois, le "Laogai" est alors bien plus peuplé que son équivalent russe. On n'imagine pas le portrait de Staline dominant aujourd'hui la place Rouge. Mais le portrait de Mao, lui, continue de surplomber la place Tien Anmen à Pékin. Les foules circulent à ses pieds, les touristes le prennent en photo, des marchands vendent des objets à son effigie. On peine à réaliser que cet homme peut prétendre au titre de plus grand exterminateur du XXe siècle. Mao Tsé-toung est un criminel -sciemment- méconnu. Rappeler les hécatombes laissées dans le sillage du tyran pourrait passer pour une faute de goût, hé bien je la fait car : - curieusement, Mao n'est pas seulement une icône chinoise, mais aussi occidentale. - Son visage se retrouve sur des t-shirts, des badges ou des cendriers, recyclé dans une esthétique kitsch et ignorante de l'histoire. - Andy Warhol l'a peint comme il a peint Marilyn ou Mick Jagger - L'homme d'affaires François Pinault possède d'ailleurs un Mao de Warhol dans la collection d'art moderne qu'il a ouverte au public, le 30 avril dernier, dans les fastes vénitiens de son Palazzo Grassi. Mao et le milliardaire font bon ménage. - Même VGE y va de son commentaire, à sa mort, en 1976, Valéry Giscard d'Estaing n'avait-il pas déploré que fut éteint "un phare de la pensée" - En 1997, Henry Kissinger persistait à décrire Mao comme un "philosophe" ayant poursuivi toute sa vie "une quête de la vertu égalitaire". Et ceux qui se sont laissés enfumer par le maoïsme hallucinogène des années 60 et 70 n'ont pas toujours envie de remuer leur passé. Le cadavre de Mao s'est donc retrouvé dans les placards de l'histoire. La plus grande réussite de Mao aura été l'édification de son propre mythe. Aujourd'hui encore, on se refuse à prendre la mesure d'un règne sanguinaire. Sans doute parce que, à gauche comme à droite, par idéologie ou par calcul, trop de gens ont préféré ignorer ses crimes. MECONNU, plus du tout de nos jours, traduite en français l'an dernier, la biographie de l'historien britannique Philipp Short permettait déjà d'évaluer l'ampleur du désastre (Mao Tsé-toung, Fayard, 2005). Mais celle qui paraît aujourd'hui va plus loin encore, soulignant plus fortement les dimensions criminelles du personnage et de son régime. Le Mao de Jung Chang et Jon Halliday risque d'emporter les dernières illusions de ceux qui s'accrochent au "génie militaire" de la Longue Marche -apparemment pas Monsieur Frêche- ou à l'idée selon laquelle Mao aurait arraché la Chine à une stagnation médiévale. Egoïste, manipulateur, retors, mégalomane, irresponsable, brutal, cruel, totalement indifférent à la souffrance d'autrui, fût-ce celle de ses proches, ainsi apparaît ce fils de paysans né le 26 décembre 1893 dans la province du Hunan, qui brillera surtout par la ruse, la trahison, le coup tordu et l'absence de scrupules dès lors qu'il s'agira d'asseoir et de conserver un pouvoir absolu. S'il devient communiste à l'âge de 27 ans, ce n'est pas par idéal: le Parti communiste chinois (PCC) est alors en expansion et Mao en profite. Devenu chef militaire de la guérilla dans les montagnes du Jiangxi, il ne tarde pas à imposer ses méthodes. Durant l'hiver 1930-31, pour régler leur compte à des chefs rivaux, il n'hésite pas à lancer une immense purge au sein de ses propres troupes. Chasse aux éléments "anti-bolchéviques", tortures souvent baptisées avec des noms poétiques ("s'asseoir dans un fauteuil de plaisir", "l'ange jouant de la cithare"...), exécutions, massacres. Au total, plus de 10000 morts, soit un quart de l'armée alors sous ses ordres. Avant Staline, Mao a inventé la purge communiste à large échelle. Jung Chang et Jon Halliday Les cygnes sauvages (Plon, 1992)- voient dans cet épisode un "moment fondateur du maoïsme". Le même caractère impitoyable va se révéler dans la région de Ruijin où il s'établit en novembre 1931 et qu'il transforme aussitôt en enfer carcéral. Puis, d'octobre 1934 à octobre 1935, lors de la fameuse Longue Marche pour échapper aux troupes de Tchang Kaï-Chek qu'il accomplira pour l'essentiel juché sur un palanquin, et non à pied comme le voudrait la légende. Passé ainsi du sud au nord de la Chine, Mao s'installe pour dix ans dans la région de Yenan où il va perfectionner son système répressif. Dans son cas, le crime paie. Mao se hisse à la tête du PCC en 1942. Sept ans plus tard naît la République populaire de Chine et il en est le maître absolu. Dès 1950, il lance une campagne pour éliminer les contre-révolutionnaires. Les années Mao pourraient illustrer un manuel de novlangue orwellienne. La campagne "Que cent fleurs s'épanouissent", inaugurée en février 1957, semble respirer une légèreté printanière, il s'agit en réalité d'un mouvement dirigé contre les intellectuels qui va mettre au pas l'élite chinoise: arrestations, déportations et exécutions par milliers, déjà la routine... J'arrête le macabre décompte, plus 70 millions de morts et il avait déclaré en 1957 à Moscou :"Nous sommes prêts à sacrifier 300 millions de Chinois à la victoire de la révolution mondiale".Non, le maoïsme n'est pas un humanisme. Avec le recul, on se demande pourquoi tant de gens se sont laissé abuser. Est-ce de la candeur, de l'ignorance, ou de la bêtise.... pire peut-être. "Tout anticommuniste est un chien", écrivit un jour Jean-Paul Sartre, mais de toutes façons, lui avait LES MAINS SALES. "Un Français mort, c’est un Arabe libre", écrivait par ailleurs le doux et humaniste Jean-Paul Sartre, pendant la guerre d'Algérie. Sartre osa préfacer un livre incendiaire, extrait : "Pour le colonisé, la vie ne peut surgir que du cadavre en décomposition du colon !" Le Gouvernement gaulliste de l'époque refusa de faire poursuivre les auteurs de ce véritable appel au meurtre qui n'aurait été toléré dans aucune autre démocratie au monde ! https://www.dailymotion.com/video/x32mg9_le-communisme_news "Nous sommes dans une époque où les gens sont décérébrés. Cette installation, c'est une opportunité de les faire réfléchir à l'Histoire", explique Georges Frêche, président de l'Agglo, initiateur du projet et qui a signé le casting. "J'ai choisi ces hommes parce qu'ils ont joué un rôle-clef. C'est particulièrement vrai pour Lénine dans la période 1917-1922." Quant à Mao, "Il sera là au titre de la révolution culturelle pour la période 1929-1949. Après, comme dirigeant chinois, il a été nul" assène Frêche lui-même ancien maoïste. La vocation de ces statuts est touristique. Le projet, qualifié de de "démago" et "mégalo" par les opposants aurait pu en plus être franchement polémique: l'ex-socialiste souhaite inclure Staline à la galerie, mais il a reculé devant la "provocation". "Et pourtant, lui aussi a changé la face du monde avec la victoire de Stalingrad". Au moins Frêche a le sens de la décoration, s'il n'a pas celui des économies! Je trouve que ces statues de chefs d'Etat (1ère livraison) vont bien ensemble, elles ne déparent pas les unes avec les autres, elles ont toutes un petit détail en commun qui rappelle l'autre... La preuve, elles sont commandées et livrées ensemble ! Et Frêche a raison de penser que celle de Staline donnerait de l'éclat à tout ça. Mais, comme le précise le président du Conseil régional du Languedoc roussillon, "l'opinion publique n'est pas encore assez mûre". Sans doute voulait-il dire pas assez pourrie ! Mais ça viendra..." | |
| | | SantoniA
Nombre de messages : 842 Date d'inscription : 28/11/2009
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Mer 18 Aoû - 4:56 | |
| Inénarrable Georges http://www.lagazettedemontpellier.fr/actualite/viewArticle.php?idArticle=872 Un jour, quelqu'un vint voir Socrate et lui dit : - Écoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit. - Arrête ! interrompit l'homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis - Trois tamis ? dit l'autre, rempli d'étonnement. - Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As-tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai - Non, je l'ai entendu raconter et... - Bien, bien. Mais assurément tu l'as fait passer à travers le deuxième tamis. C'est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n'est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon Hésitant, l'autre répondit : Non, ce n'est pas quelque chose de bon, au contraire... - Hum dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire... - Utile Pas précisément.. . - Eh bien dit Socrate en souriant, Si ce que tu as à me dire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l'oublier... | |
| | | SantoniA
Nombre de messages : 842 Date d'inscription : 28/11/2009
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Mar 14 Sep - 2:58 | |
| Enchaîné à De Gaulle Albert Pélican s'est enchaîné à la statue du général De Gaulle, qui sera inaugurée vendredi, sur la place des Grands-Hommes, à Odysseum. Président de la Coordination nationale des rapatriés et repliés de France, ce dernier conteste « les mesurettes prises en faveur des rapatriés par les différents gouvernements qui se succèdent depuis 48 ans ». Il souhaite ainsi sensibiliser les actuels dirigeants « à la validité de nos droits, ainsi que l'impérieuse nécessité d'instaurer un moratoire total contre toutes poursuites qui nous sont préjudiciables. Cette mesure, s'impose plus que jamais au moment où nous devenons le terrain de chasse privilégié des officines de recouvrement. » Albert Pélican était soutenu dans son action par Mohamed Bellebou, président des associations de rapatriés harkis, qui dénonce « la ségrégation négative » à l'encontre de la communauté harkie et réclame la création « d'un établissement public pour la promotion et la participation à la vie sociale, économique et politique » du pays. En fin de journée une délégation de six personnes a été reçue en préfecture. http://www.midilibre.com/articles/2010/09/14/MONTPELLIER-Enchaine-a-De-Gaulle-1382749.php5 Je répondrais à Monsieur DELSANTO sur le 7è commandement, mais moi je préfère le 11è commandement : "Tu seras fidèle aux tiens, surtout quand la Nation les oublie ou les diffame"de André Rossfelder | |
| | | SantoniA
Nombre de messages : 842 Date d'inscription : 28/11/2009
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Mer 27 Oct - 5:23 | |
| ELLE est très puissante, et sûre d'elle, et ELLE a toujours le dernier mot. Un jour, j'étais au chevet d'un être cher, j'étais assise en face de ma malade, et tout à coup ELLE m'est apparue avec sa grande cagoule toute de noir vêtue, derrière ma grand-mère et face à moi.
Je me suis levée, je me suis précipitée sur ELLE, je l'ai insultée tout en la battant de mes poings. Et je me suis aperçue tout à coup que mes bras battaient dans l'air tandis que ma mamé me disait :
- Pauline que t'arrive-t-il ?
Et elle éclata de rire de ma soudaine colère aussi inattendue qu'incongrue. Je tremblais, et je lui ai répondu :
- ELLE était là.
Et, ma grand-mère comprit. Un mois plus tard, ELLE gagnait et me prenait ma chérie.
Plus tard, ELLE m'a investie, ELLE m'a envahie, ELLE a tenté de m'enlever aux miens. J'ai lutté, j'ai souffert, mais j'ai lutté et j'ai gagné, mais pour combien de temps ?
ELLE a toujours le dernier mot. Aussi je me dis que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Il ne faut jamais baissé les bras, car la VIE EST BELLE, et la vie c'est cela
Et je danse, je danse, je danse en espérant qu' ELLE m'oubliera pour longtemps. ELLE a terrassée Georges sans prévenir. ELLE a eu avec lui le dernier mot. Il se croyait immortel, lui l'homme fort qui n'a pas arrêter de travailler. Mais Georges, ne savait-il pas que des indispensables il y en a plein les cimetières
Je ne peux que dire RIP Georges. Je ne sais pas pourquoi je vais ai raconté mon aventure avec ELLE, car cela ne vous intéresse pas, mais dans cette période de Toussaint, mon coeur pleure et ma mémoire saigne...
Dernière édition par SantoniA le Lun 20 Juin - 2:58, édité 1 fois | |
| | | MAKEBAKOULO
Nombre de messages : 289 Date d'inscription : 29/12/2009
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Jeu 28 Oct - 5:35 | |
| Accueil » Grand Sud » Grand Sud in LA DEPECHE.fr Publié le 28/10/2010 09:48 - Modifié le 28/10/2010 à 11:09 | Christian GoutorbeGeorges FrêcheHOMMAGE- -"-Quarante ans de vie politique languedocienne ont défilé hier matin dans la cathédrale Saint-Pierre de Montpellier, cernée par la foule, pour rendre un dernier hommage à Georges Frêche, décédé dimanche soir à l'âge de 72 ans. Derrière sa famille, dont ses cinq filles, tous les acteurs de la vie publique régionale et des milliers d'anonymes se sont inclinés devant les professeurs en toge rouge de la faculté de droit où l'ancien maire de Montpellier avait enseigné le droit romain. « Il n' était pas de ceux qui suivaient, mais de ceux qui construisaient. C'est lui qui a implanté ici, la gauche dans les années soixante-dix » s'est exclamé Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon dans son hommage au provocateur, «dénigré à l'excès». Il s'est dit époustouflé par la densité de l'hommage populaire. « Une telle affluence, une telle adhésion, cela contredit toutes les accusations injustes lancées contre lui » a poursuivi l'élu et ami, entouré de tous les présidents de Région du Sud de la France : Martin Malvy de Midi-Pyrénées, Gérard Rousset d'Aquitaine, Michel Vauzelles de PACA, René Souchon d'Auvergne et José Montilla arrivé de Catalogne, se sont solidairement rassemblés avec les élus de la Région Languedoc-Roussillon et ceux de Montpellier. « Je suis impressionné par la ferveur de cette foule. C'est la marque incontestable de la reconnaissance de son parcours. C'est très émouvant, y compris les applaudissement nourris au moment d'évoquer sa mémoire » a assuré Martin Malvy. « Nous sommes venus rendre un hommage très émouvant, au grand élu, au bâtisseur, au visionnaire. Il a fait partie de l'histoire du PS comme le PS fait partie de son histoire à lui » a encore témoigné Harlem Désir, numéro deux du PS, venu avec François Lamy et Stéphane Le Fol pour représenter avec discrétion la rue de Solferino, en plus de la gerbe envoyée par Martine Aubry avec qui Georges Frêche était en délicatesse depuis la campagne des régionales. « Jamais neuf, jamais vieux, toujours en renouvellement» déclamera encore son ami l'acteur Gérard Depardieu en lisant Saint Augustin, l'une de ses lectures référentes. En sortant de la cathédrale, sur « le temps des Cerises » d'Yves Montand, la foule soudée, bouleversée a applaudi longuement la dépouille avant qu'on l'emporte vers le Tarn de son enfance. Il repose dans le Tarn Depuis hier après-midi, Georges Frêche repose dans le cimetière de Puylaurens, surplombant la plaine du Lauragais, dans le Tarn. Il est enterré auprès de son père, le capitaine Joseph Frêche, et de sa mère Marie-Jeanne. Dans une belle douceur automnale, l'intimité requise par ses proches a été respectée. Mais une quarantaine d'anonymes, certains l'ayant côtoyé, de loin, ont tenu à être présents aux portes du cimetière, pour rendre hommage à « l'homme de cœur et d'action, au grand homme ». La présence, de ceux qui ont voulu lui rendre un dernier hommage, s'est traduite par la multitudes de gerbes, plusieurs dizaines, alignées sur le mur d'enceinte du cimetière : du réseau des CCI de Languedoc-Roussillon au Consulat général d'Espagne, de la Ligue de football de l'Hérault au Centre culturel juif, en passant par le groupe Parti radical de gauche, l'Opéra et orchestre national de Montpellier ou encore le lycée de la Mer, la notoriété de Georges Frêche a gagné tous les domaines, la politique, le sport comme la culture ou la religion." >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> C'était "une pointure"! Avec sa tronche plus ou moins catholique il était à l'étroit dans le parti de l'immobilisme. Make | |
| | | patrick
Nombre de messages : 962 Age : 59 Localisation : La Peyrade Date d'inscription : 17/02/2006
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Jeu 28 Oct - 5:42 | |
| - Citation :
- « Nous sommes venus rendre un hommage très émouvant, au grand élu, au bâtisseur, au visionnaire. Il a fait partie de l'histoire du PS comme le PS fait partie de son histoire à lui » a encore témoigné Harlem Désir, numéro deux du PS, venu avec François Lamy et Stéphane Le Fol pour représenter avec discrétion la rue de Solferino, en plus de la gerbe envoyée par Martine Aubry avec qui Georges Frêche était en délicatesse depuis la campagne des régionales. « Jamais neuf, jamais vieux, toujours en renouvellement» déclamera encore son ami l'acteur Gérard Depardieu en lisant Saint Augustin, l'une de ses lectures référentes.
C'est super émouvant venant de gens qui l'ont foutu à la porte du PS..... Dans la famille faux-derche, je veux...... | |
| | | Albaroc
Nombre de messages : 339 Date d'inscription : 24/07/2008
| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... Ven 29 Oct - 11:26 | |
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| Sujet: Re: GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... | |
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| | | | GEORGES FRECHE A LE SENS DU DECORUM..... | |
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